Le camping sauvage consiste à planter sa toile de tente dans un endroit qui n’est a priori pas prévu pour cet effet, généralement en pleine nature. Cette pratique séduit en particulier les amoureux de la nature, les adeptes du slow travel, les aventuriers qui aiment passer la nuit dans un environnement insolite et les voyageurs en quête de liberté.
Les principales différences du camping sauvage
Le camping sauvage offre de nombreuses possibilités. Il s’oppose au glamping et aux hôtels de plein air, les campings de luxe dotés de grands espaces aquatiques et d’infrastructures modernes. Les campeurs ne sont pas obligés de planter leur tente dans une parcelle qui leur a été attribuée dans un parc délimité.
Ils se laissent guider par leur instinct et installent leur tente à un endroit qui leur plaît. Le plus souvent dans un cadre verdoyant et préservé comme au bord d’une rivière, en montagne ou en forêt. Le camping sauvage est parfois confondu avec le bivouac, qui consiste à dormir une seule nuit à la belle étoile. On parle de camping sauvage lorsque le campeur reste dormir au même endroit pendant plusieurs jours.
Le camping sauvage est-il légal en France ?
Les règles de cette forme de camping varient selon les pays. En France, le camping sauvage est globalement autorisé mais il existe quelques restrictions. Il est interdit de camper :
- sur les routes ou sur les voies publiques,
- sur une propriété privée sans autorisation préalable du propriétaire,
- en bord de mer,
- dans les réserves naturelles,
- à moins de 500 mètres d’un monument historique ou d’un jardin classé,
- à moins de 200 mètres d’un point d’eau destinée à la consommation humaine,
- dans certaines zones définies par les préfectures ou les communes.
Malgré ces quelques contraintes, la France reste un pays propice au camping sauvage. Si vous partez à l’Ile de Ré, passez par notre camping 4 étoiles Les Prises à Ré la Blanche qui vous évitera les déconvenues.
